Immeuble Voda de Zibi : trouver une demeure et une communauté 

Lorsque Ashley Radomski a emménagé dans Voda, le premier immeuble locatif résidentiel de Zibi en Ontario, en septembre 2024, elle cherchait plus qu’un simple endroit où vivre : elle voulait s’intégrer à une communauté incroyable. Ashley est une chercheuse spécialisée dans la santé mentale et la toxicomanie chez les jeunes adultes, et elle a vécu dans plusieurs autres villes avant de déménager à Ottawa. Elle a été attirée par Zibi en raison de son unique mélange de durabilité, d’incidence sociale et de connexion. 

Une expérience de vie bien pensée 

Ashley a choisi un studio magnifiquement meublé situé dans à l’étage de cohabitation de l’immeuble. Le modèle de cohabitation offre non seulement un espace agréable, mais il donne également accès à des commodités très intéressantes (comme un bar de produits ménagers). Comme sa vie professionnelle comprend beaucoup de réunions, Ashley apprécie l’amalgame unique de commodité et de confort. 

De plus, étant donné qu’elle fait beaucoup de télétravail, elle aime utiliser les espaces de travail collaboratif pour changer de décor. « La vue au 25e étage est absolument époustouflante! », indique-t-elle. « On peut voir le Parlement, la rivière ainsi que les villes d’Ottawa et de Gatineau. C’est inspirant. » 

Ashley utilise aussi beaucoup les autres commodités de l’immeuble Voda, comme le gym et les autres espaces communs. 

Un engagement ferme à l’égard de la durabilité  

Ashley connaissait la communauté Zibi bien avant d’y emménager. Elle a appris la nouvelle du nouveau développement immobilier alors qu’elle vivait à Ottawa, avant la pandémie. Il n’en fallait pas plus pour qu’elle en soit passionnée! L’engagement de la communauté à l’égard des principes One Planet Living (un cadre sur la durabilité, la gérance environnementale et la connexion sociale) l’a grandement interpellée. 

« J’essaie de prendre toute décision importante en fonction de mes valeurs, et la vision holistique de Zibi était en parfaite harmonie avec ces dernières », explique Ashley. « Ce n’est pas juste une question d’espaces verts et d’efficacité énergétique. Il s’agit de promouvoir un esprit de communauté et un engagement significatif à l’égard de la réconciliation. » 

Ashley tient absolument à réduire son empreinte écologique : elle profite pleinement des options de transport durable du quartier. Grâce aux pistes cyclables, aux arrêts d’autobus, aux stations O-Train et aux services de covoiturage, elle a rarement besoin de prendre sa voiture. « Si ce n’était que de moi, j’utiliserais la tyrolienne pour aller travailler », dit-elle en riant. 

Créer un véritable sentiment d’appartenance  

Depuis son emménagement, Ashley s’est imprégnée de l’esprit de communauté de Zibi. Elle participe activement aux événements pour les résidents, que ce soit une soirée de jeux de société ou une réunion du comité de durabilité. 

« Ces événements sont toujours agréables et intéressants », précise-t-elle. « Plus il y a de participants, plus on comprend l’essence de cette communauté : un lieu où les gens aiment réellement se rencontrer. » 

Ashley est aussi devenue membre du comité de durabilité, où elle a été témoin de la croissance organique des idées proposées et de la sincère collaboration entre les résidents. « Le moment où les gens baissent leur garde, ils réalisent que la communauté est différente », souligne-t-elle. « Nous traitons de sujets qui nous tiennent à cœur, et les gens sont prêts à agir, que ce soit les résidents ou les représentants de Zibi. Brittany, l’une des dirigeantes de la communauté, a joué un rôle essentiel en nous aidant à concrétiser nos idées. » 

L’une des prochaines contributions de Ashley est d’apporter son expertise dans le cadre d’une série de conférences. La première portera sur la culture algonquine, réconciliation et Zibi. Ce mois-ci, Ashley parlera des questions de bien-être au sein de la communauté. 

« Je n’ai jamais vu un développement immobilier comme celui-là, où l’éducation, la durabilité et la connexion sociale sont interreliées », mentionne-t-elle. « La communauté a le potentiel d’inspirer le changement à l’échelle du pays et même à l’étranger. » 

Un modèle pour l’avenir 

Ashley croit fermement que les communautés comme Zibi offrent une solution à la déconnexion chronique attribuable au monde numérique. « Les espaces physiques sont essentiels », affirme-t-elle. « Ce n’est pas une simple question d’immeubles, mais aussi des gens qui y vivent. » 

Ashley a hâte d’approfondir son engagement dans la communauté. Elle veut se joindre au groupe de jardinage communautaire, aider à offrir des cours de yoga gratuits aux résidents et continuer de promouvoir les initiatives de durabilité. 

Alors que Zibi et Voda continuent de croître, Ashley est impatiente de constater un sentiment d’appartenance de plus en plus ancré dans cette communauté dynamique et unique. 

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